Le quartier

Elle était légèrement surprise quand il lui prit la main mais se laissa faire et en profita pour le suivre. Qui savait quand une occasion comme cella se reproduirait? Cette nuit était magnifique et en plus elle suivait Kaoru c’était encore plus beau. Elle risqua un œil ver lui. La lumière se reflétait dans ses cheveux lui donnant un air angélique Elle sourit alors toujours en gardant sa main dans la sienne ne sachant pas trop ou ils se dirigeaient ainsi mais peut importe ils n’allaient quand même pas se perdre. Ils se connaissaient à peine mais déjà il se promenait dehors comme sa main dans la main dans un endroit que ni un ni l’autre de connaissait. Elle trouvait la situation assez comique et rit légèrement.

Tout en marchant d'un pas rapide dans les rue inconnue du quartier autour de l'institut, j'entend rire Léna... D'un mouvement très rapide, peut-être trop, je me retrouve presque nez à nez avec elle... J'ai l'imprésion que mes entraille brule... Jamais je n'avait été si près de quelqu'un d'autre... Sans me reculer, sans lui lacher la main, je lui demande:

Pourquoi ris-tu?

Avec ma main libre, je retire de son visage une mèche de cheveux... Ensuite, je prend son autre main... Je me raproche encore un peu...

Non rien mais ses justes que… je trouve cette situation amusante. Ta porte qui détruit mon mur la journée de mon arriver, puis toi et moi ici main dans la main à explorer les alentour. Je me sen vraiment stupide en se moments de rire comme sa mais..

Elle n’avait pu terminer sa phrase, un fou rire venait de la prendre. Il fallait au moins lui donner une explication, lui dire que ce n’était pas de sa faute mais bien de la sienne. Elle n’avait qu’a dormir un peut plus longtemps. Après s’être calme un peut elle réussi enfin à donner une explication

Pardonne-moi, ca doit être la fatigue, le stress ou quelque chose comme sa qui me fait réagir ainsi. C’est tellement stupide de ma part vraiment toute mes excuses.

Soudainement elle se rendit compte de la distance qui les séparait était plutôt réduite et rougit instantanément. Une part d’elle la poussait à se rapprocher mais une autre lui disait de s’éloigner, qu’elle ne connaissait pas l’étendu de son pouvoir et qu’elle pourrait le blesser. A cette penser son cœur se serra. Non il ne fallait surtout pas que cella arrive. Elle regarda légèrement sur le coter et dit

Humm tien et si on allait par la?

Humm tien et si on allait par la?

Heu... Oui d'accord...

J'aurais tant aimé voir se momment ce prolonger... Mais toute bonne chose à une fin il faut croire... Nous allons dans la rue qu'elle a indiqué... Je repense à ce qu'il vient de ce passer... Nous étions si proche... et la borne fontaine de l'autre côté de la rue commençais à couler... Alors c'est certainement un bonne chose que nous soyions repartis... Mais c'était si agréable... C'est ainsi que nous continuons notre chemin dans les rue du quartier... Main dans la main... Je comprend pourquoi Mayahem ne voulait pas m'expliquer... Il ne voulait pas gacher le momment... L'intensité du raprochement... Je ne pouvais m'empêcher de penser: Que serait-il arrivé si on ne serait pas repartit? Cette question trote dans ma tête depuis déjà quelque instant... Plus loin sur la rue on tourne à droite, et de nouveau à droite... Au loin je vois l'institut... Et juste à côté de nous, il y a un petit parc... Je l'emmène à l'intérieur. Entre deux cerisier il y a un banc. Je vais m'assoir avec Léna... Je la regarde un peu avant de me remettre à sourire à la pensé de ce qui c'est passé tout à l'heure...

Tu sais quand nous étions asser proche tout à l'heure... Les bornes fontaines commençais à couler...

Je me mets à rougir... J'espère qu'elle ne me trouvera pas trop stupide... Je baisse un peu les yeux...

Tout en marchant je ne cessais de me demander se qui serais arrivé si sa aurais été plus loin. L’institut est en vu au loin mais étrangement je n’ai pas vraiment le coup d’y retourner, du moins, pas maintenant. L’entement je me laisse guider par lui et je me retrouve assise sur un banc entre deux arbres vraiment magnifiques.

Tu sais quand nous étions assez proches tout à l'heure... Les bornes fontaines commençaient à couler...

Je souris tristement puis lève ma tête ver le ciel après quelque instant je réponds

Alors peut être est-ce une bonne chose d’être parti… mes pouvoir son aussi incontrôlables que les tiens et je n’aurais pas apprécié t’électrocuter …et je doute que tu aurais apprécié toi aussi

Je tourne la tête ver Kaoru en souriant

Je crois qu’il faudrait peut-être entrer. Non seulement je commence à être fatiguer mais en plus il commence à faire légèrement froid, du mois moi je trouve.

Je me lève tranquillement puis le regarde attendant un geste de sa part

Oui tu as raison... Il vaut mieux rentrer...

Donc la nuit allait se finir ainsi... Nous entrons dans l'institut... Montons les escaliers... Et nous nous arrêtons entre nos deux portes de chambres respectives... Elle semblait asser troubler dans le parc... Et je ne veux pas qu'elle se sente mal à cause de moi... Je m'adosse sur le mur...

J'ai passé une nuit vraiment extraordinaire avec toi... Et j'espère que nous pourrons recommencer... Enfin, si tu veux...

Avant de retourner dans ma chambre pour dormir un peu, je lui souris, je l'enlasse longement et très doucement... Je lui murmure à l'oreille:

La plus belle nuit de ma vie...

Je dépose un léger baiser sur sa joue pour ensuite retourner dans ma chambre sans un mot...

Cette nuit, je dors d'un sommeil paisible et profond... Je me sens bien... J'ai, après ma première journée, déjà un bon ami et j'ai aussi Léna...

Cela faisait près de deux minute que Kaoru était entré dans sa chambre et j’étais toujours la planté dans le corridor à regarder sa porte ne sachant trop se qui venait de se passer. J’avais murmuré un léger bien sur quand il m’avait demandé si on pouvait recommencer mais après plus aucune son n’était sorti de ma bouche, trop surprise pour dire quoi que se soit. Je retourne lentement dans ma chambre toujours perdu dans mes pensé. Ma première journée ici avait été mouvementée. Après un certain temps je vais me coucher. Je m’endormi presque immédiatement légèrement curieuse de savoir se qu’il m’attend le lendemain.

J'avance tranquillement dans les rues peu bondé de ce petit quartier de Mannathan. L'air est frai et le soleil brille. Une journée magnifique en perspective, enfin, elle l'aurait été si sa n'avait été de mon anniversaire. Le commun des mortels n'ayant pas dépassé l'âge de cinquante ans apprécie habituelement ce jour tout spécial dans l'année mais au bout de cent-cinquante ans, je me suis tanné. Plusieurs me demande mon âge peut-importe ou je vais... Comment leurs dire la vérité? Du haut de mes neuf cent quarante-trois ans, et dans mon corps de vingt ans, je suis constament en train de mentir.

Une seul fois, ayant cru trouver une personne asser compréhensive pour comprendre mon état, aussi parce qu'elle me plaisait beaucoup, j'avait avoué mon véritable âge. Elle s'est alors enfuit et je l'ai revu à ses funérailles, soixante ans plus tard. À cette époque j'étais encore jeune! À peine trois cent ans...

Je me retrouve enfin devant cette institut où j'ai une certaine réticence à entrer... Je suis bien persuadé que le directeur de l'établissement me rira au visage mais c'est un risque que je suis prêt à courrir. Je ne veux pas atteindre mille ans. Et de toute façon, si il rit de moi, j'irai le voir lorqu'il sera refroidit.

Je flâne encore un peu devant la batisse. Une bien belle batisse. Je prend une grande respiration et je me lance dans l'allé. J'ouvre la grande porte devant moi et je pénètre l'endroit.

L'entrée est vide en ce moment, les élèves c'étant rendut à leurs cours respectif. Mais l'assisstant du directeur s'y tenait bien droit. Le directeur lui même lui avait demandé de se présenté et de faire les chose comme il se doit de les faires en général. C'est à dire savoir si le nouveau en question mentait ou non, pour un télépathe, c'était étonnament simple. Toutefois celui qui entra faillit bien faire vaciller l'homme expérimenté. Il avait sur le champs lut une partie de l'histoire de la personne qu'il confrontait, et il devait sans difficulté dépassé les 500 ans pour avoir vécut tous ça, qui était-il?

Bonjour monsieur, je suis heureux de vous rencontrer. J'imagine que vous êtes venue pour prendre des information sur cet endroit. Je suis celui qui s'occupe de cela. J'ai l'étonnante impression que vous êtes très agée, bien que vous ne le semblezpas. J'ai hâte de connaître votre pouvoir qui doit être plutôt singulier vut ce point. Je suis moi même télépathe alors j'espère que vous n'avez rien contre le fait que je recherche quelques infos sur vous ou tout du moins la preuve que vous dites la vérité. Et puis de toute manière vous n'avez pas vraiment le choix. Mes pouvoir sont quand même assez puissant mais je les diriges très mal.

Il avait déjà vut des personnes lui interdire purement et simplement toute lecture dans ces pensées, ce qui l'attirait comme un aimant à le faire. Il resta calme et souriant à l'homme et l'invita à venir dans son bureau pour qu'ils aient une petite discussion d'homme à homme. Sans attendre la réponse il se dirigea vers le bureau.

[Suite à: https://xmenevo.1fr1.net/L-Institut-pour-les-Surdoue-c7/Les-classes-c8/Classe-du-Directeur-f11/-p188.htm#188 ]